La dengue et le chicoun gougna
--> une épidémie sur les forums féministes
Un reportage de notre envoyée spéciale pour le Magdamag
Deux spécimens (femelles, assurément), ont été détectés sur place. A première vue il est difficile de les distinguer. Dans le premier cas, moins grave, il s'agit d'une espèce méridionale relativement bénigne, très fréquente sur les forums. Il s'agit de spécimens fort heureusement sans oeufs et ne se reproduisant donc pas. Dès qu'on leur parle d'enfants elles se mettent à vomir comme si on leur parlait de pestiférés. Cela va des crampes articulaires aux vomissements, accompagnés d'une sorte de danse de saint Gui à ne pas confondre avec les symptomes de l'hystérie. Le cadre clinique comporte un syndrome de méprisante supériorité sur toutes les autres femelles ayant une descendance, considérée larvaire.
Le second cas est beaucoup plus sérieux mais ne se développe fort heureusement que dans l'hémisphère austral. Tout aussi stérile que le premier cas, il est toutefois nettement plus virulent et peut amener à une pathologie plus lourde de conséquences sur les individues qui en sont atteintes. On est en présence d'une véritable hargne envers l'enfance et d'une prétention teintée de fanatisme quand aux mépris vis à vis des femelles saines ayant pondu. La gravité du syndrome est tel qu'il vaut cependant nmieux attendre la ménopause pour s'assurer que ces femelles n'ont pas donné le jour à une descendance, pour laquelle le risque héréditaire de contagion serait très élevé.
La simple "moustique-tigrée", aedes albopictus, sévissant particulièrement dans les régions méditerranéennes, pourtant connu pour son agressivité, n'est rien à coté et ne laisse aucunes séquelles. Il n'occasione sur le moment que de terribles démangeaisons qu'on peut atténuer rapidement en se passant du baume.
Restent la tique et la teigne, dont je parlerai une autre fois, et qui ont toutes les caractéristiques requises pour finir sous-préfettes.
Deux spécimens (femelles, assurément), ont été détectés sur place. A première vue il est difficile de les distinguer. Dans le premier cas, moins grave, il s'agit d'une espèce méridionale relativement bénigne, très fréquente sur les forums. Il s'agit de spécimens fort heureusement sans oeufs et ne se reproduisant donc pas. Dès qu'on leur parle d'enfants elles se mettent à vomir comme si on leur parlait de pestiférés. Cela va des crampes articulaires aux vomissements, accompagnés d'une sorte de danse de saint Gui à ne pas confondre avec les symptomes de l'hystérie. Le cadre clinique comporte un syndrome de méprisante supériorité sur toutes les autres femelles ayant une descendance, considérée larvaire.
Le second cas est beaucoup plus sérieux mais ne se développe fort heureusement que dans l'hémisphère austral. Tout aussi stérile que le premier cas, il est toutefois nettement plus virulent et peut amener à une pathologie plus lourde de conséquences sur les individues qui en sont atteintes. On est en présence d'une véritable hargne envers l'enfance et d'une prétention teintée de fanatisme quand aux mépris vis à vis des femelles saines ayant pondu. La gravité du syndrome est tel qu'il vaut cependant nmieux attendre la ménopause pour s'assurer que ces femelles n'ont pas donné le jour à une descendance, pour laquelle le risque héréditaire de contagion serait très élevé.
La simple "moustique-tigrée", aedes albopictus, sévissant particulièrement dans les régions méditerranéennes, pourtant connu pour son agressivité, n'est rien à coté et ne laisse aucunes séquelles. Il n'occasione sur le moment que de terribles démangeaisons qu'on peut atténuer rapidement en se passant du baume.
Restent la tique et la teigne, dont je parlerai une autre fois, et qui ont toutes les caractéristiques requises pour finir sous-préfettes.
Ecrit par Lory Calque, le Lundi 21 Août 2006, 12:23 dans la rubrique Magazine féminin.