Suite à mon licenciement malhonnete et abusif de wikipédia, l'encyclopédie néo-libérale et misogyne, par son tribunal réactionnaire, j'ai décidé de recopier ici les billets que je colle ponctuellement sur le blog d'un de ses ténors. Lien du blog en question:

Une "Démocratie participative", certainement pas. J'ai participé tout l'hiver à une initiative communale de ce genre et je suis bien placée pour savoir que wikipédia est tout le contraire de l'expérience plus que positive vécue localement au niveau communale et inter-communal.

Commentaires

Bein c'est pas encore Arcorepédia mais ça va viendre, avec un lapin en version espagnole (sans blague? Rien que ça? Peuchère, en basque en breton en espéranto en volapuk et j'en passe et des meilleures, ce que ça va faire classe! si seulement ça voulait dire quelquechose!!!...ça serait déjà ça. Manque de pot, c'est que dalle. )

C'est vrai que jouer sur le fil du rasoir, sur wikipédia, c'est bien interprété pour certains, surtout s'ils sont sympathisants d'extrème droite, et mal pour d'autres, surtout si elles sont féministes et tout simplement de gauche tout court, hein Guil? T'es bien placé pour le savoir!

Commentaires

Il y a de nombreux "vandales autorisés", de tendance néo-libérale et misogyne. La misogynie ordinaire acceptée et le néo-libéralisme étant la tendance de wikipédia.

" Si les wikipédiens croient au projet de l'encyclopédie et au travail de la communauté, leurs motivations ne sont pas à chercher du côté de l'altruisme, comme plusieurs travaux sur les CoPs l'ont démontré, mais bien du côté d'un positionnement identitaire qui s'inscrit dans le temps. "

Le néo-libéralisme, traduisible en "esprit libertarien" pour ce qui concerne wikipédia, n'est certainement pas par nature favorable au féminisme puisqu'il repose sur le patriarcat.

Ici je ne suis pas sur wikipédia où l'on peut hacher mes propos où les effacer s'ils dérangent. Il s'agit d'un blog où l'on réagit à un article proposé. De là probablement l'étonnement de certains, habitué au béniouiouisme wikipédien où toute critique est immédiatement étouffée par le nombre et au besoin par la violence de l'arbitraire. Je dis ici ce que je pense, étant libre de pasticher ou non ailleurs.