Quand Chouquet s'enthousiame pour les gender studies (ça fait bien et ça ne coute rien) et la "libération de la femme", c'est de cette "Galatée qui s'éveille à peine dans l'inconscient de ce corps d'homme où elle est enfermée", comme disait M. Proust dans "Sodome et Gomorrhe" qu'il parle, bien entendu. Pas de celle qui, elle, est une vraie femme avec un sexe de femme, qui met des enfants au monde et qu'on maltraite aux quatre coins du monde. De ces etres humains-là, les femmes, il n'en a rien à foutre. Après tout, c'est peut-etre une sous-espèce, une race inférieure, à peine humaine. Heureusement Chouquet est humaniste et défend le genre humain, enfin les droits de l'homme. Le droit de l'homme à etre la femme qu'il ne sera jamais puisque jamais il n'aura un corps lui permettant d'enfanter. Le droit des femmes au respect en tant que personne humaine, ce n'est pas son affaire, ni sur wikipédia ni ailleurs.