"Caractères"
La Bruyère ou La Fontaine s'en seraient donné à coeur joie, faisons de même.
Les vandales en tous genre n'ont pas une grande incidence en ce qu'ils n'ont guère plus de consistance que les ectoplasmes. Les femmes représentant moins de 20% des effectifs de wikipédia, il y a fort à parier qu'il en soit de même, sinon plus, pour les vandales: jeunes freluquets ou adolescents attardés, frustrés de toutes sortes, cervelles indigentes, leurs pattes de mouches sur les pages sont vite effacées par la vigilance collective. Ils ne méritent donc pas qu'on en parle davantage, ces quelques lignes suffisent: ils passent à coté de quelque chose de grand qui pourrait les aider en leur apportant beaucoup plus que ce qu'ils ne seraient jamais en mesure d'apporter, les sortant d'un ordinaire stérile.
Toutefois, parmi les contributeurs enregistrés, les oiseaux rares ne manquent pas bien qu'ils ne soient qu'une petite minorité, toutefois agissante. Nous retrouvons donc quelques freluquets mal dégrossis en apprentissage. Ils zombisent à l'occasion, changent d'identité, vont et viennent, contribuent positivement au passage, ne détruisent pas, comprennent que si l'égalitarisme prévaut et qu'aucun contributeur n'a plus de droits qu'un autre il existe cependant une sorte de hiérarchie spirituelle en ce que le laveur de voiture intéressé par la géologie travaillant sur la même page que le géologue au CNRS finit par comprendre qu'il se rendrait parfaitement ridicule en soutenant mordicus une faribole, or même le laveur de voiture a sa dignité et désire tenir son rang au sein de ce petit monde.
Mais on trouve également des oiseaux rares d'un certains poids; je ne suis spécialiste ni en volatiles ni en faune du pléistocène, mais les brontosaures, voire les tyrannosaures ne manquent pas. Il en est certains que je décrirais comme suit:
Les vandales en tous genre n'ont pas une grande incidence en ce qu'ils n'ont guère plus de consistance que les ectoplasmes. Les femmes représentant moins de 20% des effectifs de wikipédia, il y a fort à parier qu'il en soit de même, sinon plus, pour les vandales: jeunes freluquets ou adolescents attardés, frustrés de toutes sortes, cervelles indigentes, leurs pattes de mouches sur les pages sont vite effacées par la vigilance collective. Ils ne méritent donc pas qu'on en parle davantage, ces quelques lignes suffisent: ils passent à coté de quelque chose de grand qui pourrait les aider en leur apportant beaucoup plus que ce qu'ils ne seraient jamais en mesure d'apporter, les sortant d'un ordinaire stérile.
Toutefois, parmi les contributeurs enregistrés, les oiseaux rares ne manquent pas bien qu'ils ne soient qu'une petite minorité, toutefois agissante. Nous retrouvons donc quelques freluquets mal dégrossis en apprentissage. Ils zombisent à l'occasion, changent d'identité, vont et viennent, contribuent positivement au passage, ne détruisent pas, comprennent que si l'égalitarisme prévaut et qu'aucun contributeur n'a plus de droits qu'un autre il existe cependant une sorte de hiérarchie spirituelle en ce que le laveur de voiture intéressé par la géologie travaillant sur la même page que le géologue au CNRS finit par comprendre qu'il se rendrait parfaitement ridicule en soutenant mordicus une faribole, or même le laveur de voiture a sa dignité et désire tenir son rang au sein de ce petit monde.
Mais on trouve également des oiseaux rares d'un certains poids; je ne suis spécialiste ni en volatiles ni en faune du pléistocène, mais les brontosaures, voire les tyrannosaures ne manquent pas. Il en est certains que je décrirais comme suit:
Ecrit par Lory Calque, le Mercredi 2 Novembre 2005, 00:49 dans la rubrique Wikipédie (Mémoires de la).