On peut sans se tromper avancer que, d'une part, le sport féminin étant traditionnellement moins estimé, comme quoi que ce soit d'autre concernant les femmes, du fait de la misogynie ambiante et du machisme ordinaire et bénéficiant donc de moins de crédits, subventions et attention, qualité d'entrainement que le sport masculin, d'une part il vient buter sur l'ultra-libéralisme et le masculinisme qu'il comporte, et d'autre par le manque de recrutement empêché par les pressions culturelles exercées par leur familles, leurs frères surtout, sur les filles issues de l'immigration, formant désormais une partie importante de la population.
La preuve en est que l’Italie, sur un nombre total de médailles moins important que la France (30), a vu les femmes en ramener 1/3. Et cela correspond tout à fait à un pays ou la misogynie traditionnelle et le machisme ordinaire sont plus enracinés qu’en France, mais n’a encore par ailleurs aucune génération issue de l’immigration et donc pas de communautés encore plus archaïques que les catholiques.
Si la France ramène 10 médailles de plus que l'Italie, c'est le fait de la participation masculine issue de l'immigration.
L'effet conjugué de ces deux raisons ne se fait d'ailleurs pas sentir que sur le sport.
Ce qui par contre est certain en Italie est que, les timides mesures prises par le précédent gouvernement Prodi en faveur des femmes contre les violences domestiques (73% des violences faites aux femmes), ont été supprimées par "mesure d'économie", de sorte que ces violences n'ont pas baissé. Par contre les violences faites aux femmes, principalement autochtones, par les immigrés (l'immigration en Italie est essentiellement masculine) augmentent.