club merd'
Comme si je ne me souvenais pas du Club Merd d'autrefois, où des nanas de 20 ans se faisaient sauter par le chef de village (un vieux moche rabougri de 60 piges) pour pouvoir repartir la saison suivante et ne pas rester sans job! Comme si j'avais oublié les lobbies homosexuels et leur droit de cuissage qui n'était pas différent de celui du chef de village, la petite cour qu'entretenait un chef des sports ou autre et les petits mecs qui donnaient leur cul pour avoir quelque faveur, une paillote plus confortable avec frigo par exemple, où les Grandes Jorasses qui faisaient exactement la même chose avec les petites nanas qui espéraient de l'avancement dans la troupe, que sais-je, une place en première file pour chanter "pousse l'ananas -la nana, comme c'est drôle et pas sexiste, hein?- et mouds l'café" ! Comme si ce n'était pas la même chose aujourd'hui dans le monde du spectacle et des médias! Et ils osent se dirent discriminés!
J'étais monitrice et m'occupais des mômes, j'étais étudiante et travaillais là pour me faire un peu de fric et des semi-vacances à l'étranger, pas pour me faire emmerder, et ça m'emmerdait passablement d'être réquisitionnée une fois par semaine pour faire de la figuration, d'ailleurs je me planquais derrière le rideau à l'arrière-scène en attendant que ça se passe, et de me retrouver en paréo une fleur derrière l'oreille en distribuant de la menthe à l'eau aux arrivants. Le pire c'était hôtesse de remplacement à la "Volière" (bein oui, les nanas c'est comme des oiseaux en cage, c'est là pour la décoration) à donner des explications en plusieurs langues à des glandeurs qui n'avaient besoin de rien que de faire la conversation en mettant trois plombes à vous lacher la grappe. Ce qu'il y avait de bien c'était la permanence aux heures creuses, au moins je pouvais bouquiner tranquille à l'ombre.
J'étais monitrice et m'occupais des mômes, j'étais étudiante et travaillais là pour me faire un peu de fric et des semi-vacances à l'étranger, pas pour me faire emmerder, et ça m'emmerdait passablement d'être réquisitionnée une fois par semaine pour faire de la figuration, d'ailleurs je me planquais derrière le rideau à l'arrière-scène en attendant que ça se passe, et de me retrouver en paréo une fleur derrière l'oreille en distribuant de la menthe à l'eau aux arrivants. Le pire c'était hôtesse de remplacement à la "Volière" (bein oui, les nanas c'est comme des oiseaux en cage, c'est là pour la décoration) à donner des explications en plusieurs langues à des glandeurs qui n'avaient besoin de rien que de faire la conversation en mettant trois plombes à vous lacher la grappe. Ce qu'il y avait de bien c'était la permanence aux heures creuses, au moins je pouvais bouquiner tranquille à l'ombre.
Ecrit par Lory Calque, le Dimanche 23 Avril 2006, 16:38 dans la rubrique Florycalque.
Commentaires :
philhippe57
Koituveudir?
Où veux-tu en venir? Ton texte me semble finir bien abruptement, ou est-ce l'accroche d'un feuilleton?Es-tu la même Lory qui diatribe avec talent sur Petaramesh and co, entre autre contre la placide Céleste? Je ne reconnais pas le ton.