C'est ainsi. De meme qu'il y a la Sérénissime, il y a la Célestissime. A la différence près que la première est un joyau inscrit au patrimoine universel de l'UNESCO et la seconde pas grand chose.
Le présent commentaire n'a pas été publié, comme je m'y attendais.@ mc
- une retraite inférieure de 30 % à celle des hommes
- un salaire inégal à travail égal
-un surcroit de travail du au travail domestique gratuit.
Commentaires :
@ Jessie
- quand je dis que celle-ci manque de culture féministe et politique, ce n'est pas un reproche mais une constatation. A partir de cette constatation je lui reproche (parce que je le lui reproche), de "se poser en femme féminine réconciliée" comme tu dis très bien, ce qui équivaut précisément à "accuser celles qui ne sont ni féminines ni n’ont envie de l’être, ni réconciliées, comme des revanchardes qui n’ont rien pigé."
C'est subtilement se poser en louvoyant en celle qui a tout compris des relations H/F quand justement elle a une conscience féministe des plus primaires et aucune connaissance des mécanismes de la domination masculine. Sa position en est donc d'autant moins acceptable. Et ça me dérange profondément qu'une femme de ce type se pose en supérieure implicitement méprisante et donneuse de leçons. C'est peut-etre une déformation professionnelle d'ex-instit, mais ça ne passe pas, ça passe d'autant moins que son discours essentialisant est cousu de fil blanc et ne noie pas le poisson et que par conséquent il n'est pas difficile de le démonter.
- dans la réponse 55 qu'elle te donne (généralement elle est fuyante et n'affronte aucune des objections dont on lui fait part, une tactique bien commode qui lui permet de passer pour zen en faisant passer l'autre pour un esprit chagrin, et une façon de dissimuler le mépris dans lequel elle tient toutes celles qui ne se fusionnent pas empathiquement et immédiatement avec sa chère personne, quand elle ne répond pas avec un ton compassionnel faussement compatissant, ce qui est une autre façon de mépriser l'autre en se posant en inaccessible princesse sur d'inatteignables hauteurs métaphysiques), c'est tout à fait évident.
Acculée dans ses derniers retranchements essentialisants, son édifice montre la corde et tremble sur ses bases, construites dans le sable. Elle méprise parce qu'elle a été méprisée, comme nous l'avons toutes été par la société patriarcale, mais elle ne sait pas le reconnaitre et, intégrant inconsciemment les principes de l'ordre patriarcal, elle accuse l'autre de la mépriser.
Prenant alors un ton pincé parce que son égo ne tient pas le choc, perce la blessure narcissique qu'elle en ressent, sans savoir ni comprendre que le narcissisme est une normale composante de la psychée humaine et que ce n'est pas un défaut que d'en avoir un, mais que c'en est un de l'avoir hypertrophié comme c'est son cas et celui de l'espèce de guru qui lui sert de défenseur, et de défenseur de l'ordre patriarcal comme n'importe quel homme au machisme classique et ordinaire.
Elle te dit meme que "ton com est très intéressant, je ne dirais pas qu’il apporte des éléments nouveaux à ma réflexion, mais tu rappelles certaines choses essentielles.
Elle qui n'a jamais été foutue d'écrire un texte aussi intelligent que le tien, aussi construit, elle se pose encore en supérieure: ça n'apporte pas d'éléments nouveaux à sa "réflexion". a part ça, elle n'est pas détentrice de la Vérité infuse! Du reste, comme elle n'a aucune "réflexion" en matière de féminisme comme en nombre d'autres matières d'ailleurs, ça ne risque pas de lui apporter des éléments. Elle n'a pas meme envie d'apprendre, surtout si ça remet en question la bonne image de sainte exotico-zen qu'elle a d'elle.
Suit tout un baratin moralistico-spirituel sans intéret, dont je ne vois pas l'utilité pour résoudre les problèmes des femmes, ni ceux, des indiens ni autres populations.
- En conclusion, je dirais qu'il vaut mieux les laisser entre eux s'admirer gandhiennement le nombril. Il n'y a rien à en tirer, et la seule chose qui importe est d'avoir localisé un site pro-patriarcal et pseudo-féministe. On le sait, et on en prend acte. Nous n'avons rien à y faire, juste à en signaler les effets pervers quand ils se manifestent sous forme de nuisance pour les combats féministes que nous menons et leurs objectifs.
lorycalque
A la Célestissime
Je ne m'appelle pas plus Lory qu'Adeline et j'ai pris ce dernier parce qu'il m'est passé le premier par la tete, pour la simple raison que si j'avais signé Lory ton chien de garde hargneux et ta meute me seraient tombés dessus et tu m'aurais censurée comme tu n'as pas manqué de le faire et comme je me l'imaginais, hypocrite! Inutile de chercher à noyer le poisson, qui ne se noie pas par définition. Je ne me cache pas et tu le sais très bien.
Non ton texte n'est pas un "témoignage", mensonge. C'est une "leçon de féminité", un cour d'"éternel féminin", où tu te places comme à ton habitude au centre sur un trone, sans oublier de flanquer ta tronche que tu étales pratiquement dans chaque article, bouffie de vanité que tu es.
Si dans les premiers temps ton blog m'avait paru un peu simplet mais celui d'une brave fille un tantinet crocerossina mais ne manquant pas d'empathie, il m'apparait de plus en plus dominé par un narcissisme puant et je le situe désormais entre celui d'une dame patronesse et celui d'une sainte nitouche.
Tes histoires de Yoni? Non mais c'est ça ta sensualité et ta sexualité de "femme libérée"? Arrète un peu ton char, Vénus de campagne, et arrète surtout de prendre les femmes pour des connes. Tu sais à quoi elles me font penser tes "histoires érotiques"? Aux cartes postales " coquines" de la Belle Epoque. Vachement moderne, tellement que j'en ai baillé d'ennui et que le peu que j'ai lu m'a largement suffi. Plus le reflet de frustrations ravalée dans la perversité banale et ordinaire de la petite bourgeoisie que celui d'une explosion libératrice et libertaire des sens.
ça me fait penser aux nus gélatineux dégoulinants de cellulite des blondeurs fadasses de Rubens (je suis gentille, ça fait davantage préraphaélite pompier), à ces oies et dindes prètes à etre roties avant d'etre bouffées. Comme toi qui me rapelle ces patisseries trop sucrées et molles comme des loucoums roses bonbons, écoeurantes comme une platrée de crème Chantilly dévastant le gout acidulé des fraises.
Je préfère le luxe intelligent et sensuel d'un Klimbt ou la vigueur et la fermeté du trait d'un Egon Schiele, tu vois. C'est plus contemporain et infiniment plus subversif.
Sur les frustrations subies au jour le jour dans ma vie de femme par le sexisme ordinaire de la société machiste et ses agressions, je pourrais écrire une encyclopédie. Mais je ne rentre pas dans la catégorie des femmes battues, je ne suis pas du genre à me laisser démolir physiquement par un bonhomme, crois-moi. Et la défense n'est pas ce qui me manque, ni au sens propre, ni au sens figuré. Ceux qui ont essayé n'ont pas insisté, je te le garantis. Inutile de m'imputer des frustrations qui ne sont pas les miennes pour me taxer d'esprit chagrin revanchard haineux agessif, autant d'accusations aussi fausses que perfides qui te servent de paravant pour masquer tant ton ignorance du féminisme que des lacunes culturelles d'une étendue certaine.
Des insultes? Tu raisonnes comme les machistes dont tu te faia l'auxillaire ancillaire. Un macho auquel on dit "macho" se sent insulté. Comme la pseudo-féministe que tu es se sent insultée quand on lui dit qu''elle l'est, ce qui est ton cas. (Au passage, tu récupères hypocritement ce terme que j'ai employé comme s'il était de toi).
Non, tu n'es pas féministe. Je préfère encore les dames patronesses saintes nitouche; au moins on sait à qui on a à faire, des ennemies qu'on combat, plutot que les ramollies du bulbe dans ton genre qui se font passer pour ce qu'elles ne sont pas, véritables anguilles rampantes.
Mais va te faire foutre, Célestissime, toi et ton string deux tailles au dessus. C'est une insulte. Maintenant tu peux te dire insultée, en le disant tu diras la vérité et ça t'évitera de débiter tes mensonges sournois sur ton blog et celui des autres où au bout du compte tu te rends plus souvent pour bisounourser et raccoler de l'audience que par solidarité véritable.