Le temps se traine
Le temps se traine, entre cet hopital et cet autre, cette salle d'attente de ce spécialiste et celle de cet autre, un résultat et un autre. Et, meme si rien de bien contrariant ne semble vouloir se manifester cette année encore, cela me perturbe considérablement. Encore une semaine ou deux sans doutes, avant d'avoir la paix jusqu'à l'année prochaine.
Me remettant entre temps de médisances hypocrites, sournoises et calomnieuses d'un abruti à l'ame de bignolle et son accolyte avec lesquels je n'avais jamais échangé un seul mot, ni ici ni ailleurs, et dont j'ignorais meme jusqu'à l'existence.Qu'il s'agisse, comme me le fait remarquer un aimable et honnète lecteur, de types qui ne savent que s'arrêter sur des détails de forme et qui se contrefichent du fond, simplement malveillants et frustrés, sans nuls doutes.
Que je ne plaise pas à tout le monde, je n'en doute pas, n'ayant pas l'ame bisounoursante, je ne cherche d'ailleurs pas à plaire à qui que ce soit. Et je ne me gène pas davantage à dire ce qui me déplait dans la blogosphère. Mais le fait est que je ne me suis jamais attaquée nomément à des gens avec lesquels je n'avais jamais eu l'ombre d'un échange, n'y faisant qu'allusion en les parodiant, et je ne pense meme pas que les bisounours des intéressés les y ait systématiquement reconnu tant c'est assez vague, cernant davantage un type de personne qu'une personne en particulier. Si ces ames assez basses ont jubilé en leur colportant mes dires, je n'y peux rien, et cela ne prouve qu'une chose: il y a des gens qui aiment à distiller la zizanie, soit pour pour le malin plaisir de monter les gens les uns contre les autres, soit pour faire parler d'eux (ou les deux à la fois). Comme quoi les mielleux bisounours n'ont rien de sympathique, comme je l'ai toujours affirmé; je suis désolée pour ceux qui aiment à s'en entourer, qu'ils ne viennent pas s'en plaindre et s'en prennent à leur cour, pas à moi en poussant des cris d'ofraies pour se faire mousser.
Les rares fois où je m'en suis prise nomément à certains, c'est parce que j'avais eu des échanges assez aigres avec eux sur certains blogs. Je n'apprécie donc pas que ceux qui adoptent des pratiques de délation que je ne pratique pas viennent m'en imputer. Je laisse donc ces personnes malveillantes et frustrées à macérer entre eux dans leur jus nauséeux.
Ceci dit, j'aime pas les gens, comme dirait l'autre, c'est précisément pour cette raison qu'à quelques exceptions près je ne recherche pas particulièrement leur fastidieuse compagnie.
Me remettant entre temps de médisances hypocrites, sournoises et calomnieuses d'un abruti à l'ame de bignolle et son accolyte avec lesquels je n'avais jamais échangé un seul mot, ni ici ni ailleurs, et dont j'ignorais meme jusqu'à l'existence.Qu'il s'agisse, comme me le fait remarquer un aimable et honnète lecteur, de types qui ne savent que s'arrêter sur des détails de forme et qui se contrefichent du fond, simplement malveillants et frustrés, sans nuls doutes.
Que je ne plaise pas à tout le monde, je n'en doute pas, n'ayant pas l'ame bisounoursante, je ne cherche d'ailleurs pas à plaire à qui que ce soit. Et je ne me gène pas davantage à dire ce qui me déplait dans la blogosphère. Mais le fait est que je ne me suis jamais attaquée nomément à des gens avec lesquels je n'avais jamais eu l'ombre d'un échange, n'y faisant qu'allusion en les parodiant, et je ne pense meme pas que les bisounours des intéressés les y ait systématiquement reconnu tant c'est assez vague, cernant davantage un type de personne qu'une personne en particulier. Si ces ames assez basses ont jubilé en leur colportant mes dires, je n'y peux rien, et cela ne prouve qu'une chose: il y a des gens qui aiment à distiller la zizanie, soit pour pour le malin plaisir de monter les gens les uns contre les autres, soit pour faire parler d'eux (ou les deux à la fois). Comme quoi les mielleux bisounours n'ont rien de sympathique, comme je l'ai toujours affirmé; je suis désolée pour ceux qui aiment à s'en entourer, qu'ils ne viennent pas s'en plaindre et s'en prennent à leur cour, pas à moi en poussant des cris d'ofraies pour se faire mousser.
Les rares fois où je m'en suis prise nomément à certains, c'est parce que j'avais eu des échanges assez aigres avec eux sur certains blogs. Je n'apprécie donc pas que ceux qui adoptent des pratiques de délation que je ne pratique pas viennent m'en imputer. Je laisse donc ces personnes malveillantes et frustrées à macérer entre eux dans leur jus nauséeux.
Ceci dit, j'aime pas les gens, comme dirait l'autre, c'est précisément pour cette raison qu'à quelques exceptions près je ne recherche pas particulièrement leur fastidieuse compagnie.
Ecrit par Lory, le Lundi 26 Mars 2007, 19:13 dans la rubrique Au jour le jour.