Je ne sais pas si
Anna y los lobos, “Anna et les
loups”, le film de Carlos Seura, avec Géraldine Chaplin, vous dit quelque
chose, mais moi, quand je pense à ce qui me tient lieu de belle-mère, c’est à
la vieille paralytique (qui ne l’est pas tant que ça, puisqu’elle finit par se
lever pour chasser Anna) que je pense. C’est le rapprochement que je fais invariablement, c'est plus fort que moi.
Mais en moins pire, d’ailleurs elle se porte plutôt bien en dépit de ses genoux
un peu mous, sans doute à force de les plier sur les prie-dieu.
Et je ne sais
pourquoi quand je pense à ce catholicisme, comment dirais-je, un peu franquiste
(mais je trouve un relent de franquisme à toutes les formes de catholicisme,
même s’il ne provient ni de Communion & libéralisation, ni de
l’Octopussdei, même s’il s’agit plutôt de catho-communisme, ou de
catho-gauchisme), et que je pense
à ce qui me tient lieu de belle-mère, bien que je ne sois pas mariée, l’image
d’un vase de nuit se présente de manière inexplicable à mon esprit. Oh, un très beau vase de nuit, en faïence de qualité, à l’ancienne, propret et tout, un
objet d’antiquaire, une pièce de collection.